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Le classement des spécialités et des CHU par What’s up doc

Publié le : 11/03/2020 11:32:35

Le classement des CHU et des spécialités réalisées par la rédaction du magazine What’s up doc établit les préférences des jeunes médecins. Il est basé sur l’analyse de l’intégralité des choix des internes aux dernières épreuves classantes nationales (ECN).

Le classement réalisé par la rédaction du magazine What’s up doc analyse les choix de CHU et de spécialités formulés par les nouveaux internes en fonction de leur rang de classement. Cette analyse exclut les internes du Service de santé des Armées (SSA) ainsi que ceux sous contrat d’engagement de service public (CESP), qui choisissent parmi des postes dédiés. Ces résultats permettent de classer les 28 CHU et les 44 spécialités selon le rang de classement moyen des futurs médecins qui les ont choisis. Ensuite le classement est établi pour les CHU au sein de chaque spécialité et pour les spés au sein de chaque CHU.

La chirurgie plastique sur la première marche

En 2019, 8 283 postes (hors CESP) étaient ouverts aux étudiants ayant passé les épreuves classantes nationales (ECN). Ils ont été 8 099 à choisir. Du major, ayant opté pour la cardio aux Hospices civils de Lyon, au dernier, ayant pris gériatrie au CHU de Rouen, qu’est-ce qui motive les choix des jeunes médecins ?

Si, cette année, les spés restent relativement stables, il en va tout autrement des CHU dont le classement de tête est chamboulé (cf. visuel ci-dessus), alors que certains établissements, de manière improbable, se retrouvent en dernière position…

Ainsi, cette année, pour les spécialités, on retrouve le même tiercé gagnant que l’an dernier, mais dans un ordre différent. La chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique termine sur la première marche, et ravit ainsi la pole position à l’ophtalmologie, qui termine 2e cette année, devant la dermatologie-vénérologie, qui reste 3e


À l’autre bout du classement, parmi les derniers, on retrouve comme l’an passé en dernière position médecine et santé au travail, précédé de la biologie médicale et santé publique. L’ordre reste inchangé pour ces spécialités délaissées. Le conservatisme règne aussi pour médecine intensive et réanimation (21e), pneumologie (22e), la gynécologie-obstétrique (23e). Parmi les plus belles progressions : la chirurgie pédiatrique, qui gagne 7 places cette année, classée en 18e position. Suivent l’anesthésie-réanimation et la médecine nucléaire, qui réussissent à gagner 4 places, puis la chirurgie viscérale et digestive, la chirurgie vasculaire, la génétique médicale, qui font un bond en avant de 3 rangs. 
À l’inverse, la chirurgie orale perd 8 rangs, suivie par l’urologie et la gériatrie, qui dégringolent de 3 places. En revanche, la dermato, l’ORL, la santé publique font du surplace. 

Retrouver le classement complet du magazine What’up doc