Enquête nationale : médecin coordonnateur en Ehpad et en ESMS
Publié le : 02/12/2016 09:11:38
Une nouvelle association nationale de médecins coordonnateurs a vu le jour au printemps 2015 : Mcoor. Elle se développe rapidement dans toute la France et de nouvelles régions feront leur entrée au sein du nouveau conseil d’administration qui sera élu en décembre prochain. Plus de 80 % des régions seront alors représentées.
Créée sur une base fédératrice régionale, Mcoor représente au niveau national l'ensemble des médecins du médico-social. Ses objectifs principaux sont d'aider à la structuration de la médecine de coordination du médico-social, de représenter les médecins coordonnateurs en Ehpad et du secteur médicosocial et d'apporter, à toutes les instances nationales et régionales, le point de vue et les aspirations des médecins.
Mcoor se veut représentative des aspirations des médecins coordonnateurs
Mcoor souhaite apporter sa contribution sur les missions du médecin coordonnateur.
Mcoor cherche à participer à la recherche dans le médicosocial.
Depuis un an ses membres participent aux groupes de travaux au sein de la CNSA, de la HAS, de l’Anesm et de l’Atih et apportent la contribution des médecins coordonnateurs.
Lors de sa création MCoor s’est engagée à consulter l’ensemble des médecins exerçant dans le médicosocial afin d’être le plus fidèlement représentative des aspirations de ses membres. Une première consultation est lancée depuis le début du mois d’octobre et concerne l’activité du médecin coordonnateur exerçant au sein d’un ESMS. Nous avons besoin du plus grand nombre de réponses pour connaitre la spécificité de l’activité de nos collègues. Le questionnaire est en ligne, et le temps de réponse est inférieur à dix minutes.
Un nombre important de participation permettra d’améliorer la pertinence des propositions que nous tenterons d’apporter. Cette enquête nous permettra de préparer la rédaction du livre blanc du médecin coordonnateur (MC) dont l’une des ambitions est de mieux faire connaitre le métier du MC afin d’inciter les médecins à rejoindre cette pratique « d’expert de proximité du médico-social ».
